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S3 E3
Culture autochtones

Aujourd’hui encore, les communautés autochtones sont souvent exclues de certains secteurs économiques. Et celui de l’intelligence artificielle n’y fait pas exception. Ce manque de représentation entraîne certains problèmes, notamment la fabrication d’outils d’IA mal adaptés aux besoins des Première Nations. Il peut même générer, dans certains cas, des outils d’IA vecteurs d’inégalités sociales envers ces communautés.

 

Existe-t-il des initiatives dénonçant ces enjeux ?  Existe-t-il des solutions au problème ?

Cet épisode donne la parole à Jason Edward Lewis (Concordia), à Karine Gentelet (UQO) et à Andrea Gonzalez et Stephane Nepton (Uhu Labos Nomades).

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JASON EDWARD LEWIS

Jason Edward Lewis est professeur au département des arts de la conception et de l'informatique de l'Université Concordia. 

Il est également artiste en médias numériques, poète et concepteur de logiciels. Nous revenons sur ces projets de recherche sur l'intelligence artificielle et les communautés autochtones

KARINE GENTELET

Karine Gentelet est professeure en sociologie au Département de sciences sociales à l’Université du Québec en Outaouais. Elle était aussi titulaire jusqu'à récemment d’une chaire en justice sociale et IA soutenue par la Fondation Abeona, l’École normale supérieure de Paris et l’OBVIA. Nous parlons de ses recherches sur l'utilisation des technologies numériques pour plus de justice sociale chez les premières nations.

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ANDREA GONZALEZ
ET STEPHANE NEPTON

Andrea Gonzalez et Stephane Nepton sont entrepreneurs dans les secteurs culturel et social. Ils ont fondé Uhu Labos Nomades dans le cadre duquel ils animent des ateliers sur les technologies numériques, dont l'intelligence artificielle, auprès des jeunes des communautés autochtones. Nous parlons de leurs activités.

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